Je sais. C’est tellement beau une photo de parking de motel… Je sais. Mais franchement, c’est très bien comme motel. C’est toujours propre, c’est proche de tout à Baie-Comeau. Habituellement, je suis au petit studio 110, là ça sera le 111. On dépasse la mi-août et c’est maussade comme météo. Je me demande si je remonte ou pas. J’ai deux dodos pour me décider.
Tsé quand un gars a rien à faire en vacances… Je constate que ma barbe a pris un coup de blanc. Vu que le blanc est désormais prépondérant, je me souviens d’une pub à la télé pour la teinture de barbe et moustache. Il y avait un truc aussi pour faire pousser des cheveux, mais ça, sérieusement, je n’y ai vraiment jamais cru. So, “Just for men” it shall be. Ça m’a fait sourire le nom du produit. Déjà, si la nana est moustachue, elle ne foncera pas le tout. Un autre slogan un peu débilo-mochton : “Assez fort pour lui, mais conçu pour elle“. Tiens, je me souviens d’une compagne du moment qui, justement, faisait l’inverse. Du Jolen pour blanchir sa Manon. 🙂
À quelques dizaines de kilomètres de Baie-Comeau, j’avais déjà aperçu un massif de granite qui avait été dynamité pour la réfection de la route # 389. Je m’étais juré d’y retourner pour voir s’il n’y avait pas de matériel pour un nouvel inukshuk.
Un petit peu de bouclier canadien recyclé. Ça ne sera pas la dernière version, mais la base est là.

Le plus difficile à trouver ce sont les bras. Le long morceau plat. J’adore cette couleur.

Finalement, je remonte par en haut. Je m’ennuie de chez moi. On peut voir que la barbe est définitivement moins blanche.
Un petit barrage de castor en remontant. C’est comme du Minecraft, mais en vrai 🙂 Pour les complotistes qui recherchent des preuves… vous constatez que les nuages s’alignent presque parfaitement avec le courant électrique des fils à haute tension ? (désolé, les complotistes n’ont que faire des preuves).
Big fuzzy ball of fur. Ça manque d’élégance un tantinet. Mais full confo. Merci à sa gardienne pendant mon absence.
Home Sweet Home, fini les vacances. J’ai l’hiver qui vient. Je ne sais pas trop ce que je ferai l’été prochain.