Il y a pas mal de photos dans ce post. Mais c’est là que tu constates que le jeep a bien des morceaux rouillés (après tout c’est quand même un 2010… mais juste 120 000 km… il est payé, je l’aime et je le garde). 🙂 Il faut savoir se surpasser en chaque chose. Mais vu que je ne suis pas du tout un mécano… j’ai trouvé ça compliqué par bout. Never surrender !

D’abord une précision. N’imaginez pas un seul instant que je propose une nouvelle recette pour l’avocat à l’huile. C’est mon petit kit de changent d’huile pour le Jeep.
La vinaigrette pour le Jeep.
Les vieux sliders en plastique. Très simple à enlever. Astuce : toujours mettre de l’huile pénétrante une semaine ou deux d’avance sur les écrous (à quelques reprises). Ça aide (un peu).
One down, one to go.
Le petit nouveau, de marque Aries comme les parechocs.
Parechoc arrière retiré et les écrous de ce crochet sont “jammé ben tight“. Je pensais devoir faire couper les écrous avec une torche à l’acétylène. Mais non, j’ai eu de l’aide de Martin (merci) et j’ai pu continuer la modification.
rouille rouille rouille
rouille…
rouille… avec le nouveau muffler à installer.
Mon nouvel ami préféré : Mr. Grinder. Ça et une scie réciproque avec une lame pour acier… ça fait la job !
Mr. Grinder a rapidement relevé le défi des écrous rouillés. Bon c’est rouillé pas mal dessous, mais c’est de la rouille de surface. Donc j’ai décidé de brosser un peu le métal et de shooté tout ça noir Tremclad anti-rouille. Je sais que c’est pas une job de pro… mais ça suffira pour moi.
C’est correct en masse.
C’est pas parfait mais c’est quand même mieux.
En matière de suspension aftermarket c’est bar open. Il y a des kits de malade à quelques milliers de dollars avec des lifts, etc. J’ai opté pour une solution économique des Rancho 5000. Ils donnent une suspension assez douce. Et vu que je ne possède pas un Rubicon et que je ne fais pas de “rock crawling” c’est très suffisant.

Voilà pour le moment. Ça chemine bien ! Je vais être prêt pour faire la TransLabrador en août !