Ci-dessous, je partage quelques photos et commentaires.
Avant de partir, changement d’huile et de filtre.
Une hachette bien aiguisée.
Et tout le tralala. Matelas, linge, chaise, sac de couchage, tente moustiquaire (au cas-où), la bouffe solide (et liquide) etc.
3 nuitées, donc environ 12 à 15 bûches par jour.
Une toile et bien des attaches pour ne pas que ça tombe sur la route.
Et c’est parti ! Le jeep a l’air pas mal chargé sous cet angle.
Un petit feu à l’arrivée pour (peut-être) éloigner les moustiques. Il n’y en a presque pas !! Je pense que la canicule et la sécheresse des derniers mois a décimé les maringouins et les mouches noires. Je ne m’en plaindrai pas trop.
Le site de camping d’un autre point de vue. On continue le setup.
À 30 mètres en face du camping, le relais “Lune de miel”. De toute évidence, d’une autre époque. J’étais assez peu convaincu que ce soit le meilleur endroit pour une lune de miel, mais sinon c’est un nom assez charmant. Chérie, les toilettes sont juste à côté. 🙂
La petite rivière qui mène au lac Robinson. Elle est à environ 50 mètres du camping. Ça dort très bien avec le son de la rivière.
Le petit bassin en bas de la rivière qui mène au lac Robinson (à 1,5 km). Je sais pas pourquoi cette toune me revenait en tête à chaque fois que je voyais le nom Robinson. 🙂
Mon petit setup habituel mais avec une nouvelle toile plus petite.La vue du camping à l’arrière du jeep.Des nénuphars dans l’étang vers le lac Robinson.Un peu de noirceur et de fraîcheur sur le pare-brise et le chargeur solaire pour la batterie.Merci aux derniers occupants du site. Ils ont refait le rond de feu et c’est impeccable.
Petit souper d’accueil. Pain croûté, mousse de canard, fromage Oka et un petit rosé. Rien de compliqué.
Le lac Beaujour est un petit lac qui est rechargé par la rivière Petite Saguenay qui mène vers le lac Lapeyrère qui lui, est beaucoup plus gros. Petit tour de kayak pour allez voir ça. Il semblerait selon la carte topo qu’il y a des rapides.
Ah ben oui, un petit rapide.
Et un portage de 500 mètres vers le lac Lapeyrère. Sûrement plus utile au printemps lorsque la rivière est gonflée car, en ce moment et avec la chaleur, tirer le kayak dans la rivière me semble une bien meilleure idée.
C’est le temps d’ouvrir une corona-bière pour contempler les lieux.
En haut des rapides vers la décharge du lac Lapeyrère (entre les deux rochers). Les deux rapides étaient très faciles. Juste à tirer le kayak à la cordelle et avoir de bons chaussons de plage dans les pieds. C’est un peu glissant, mais en y allant lentement tout va bien.
L’accès au lac Lapeyrère et les chaloupes de la Sépaq (pour ceux qui louent des chalets).
Le lac lapeyrère vers le Nord. Le lac va beaucoup plus loin. Après consultation publique, nous déterminons que les réserves de corona-bière sont insuffisantes pour poursuivre la randonnée plus avant. Un repli stratégique vers le camp de base s’impose. Une seule grenouille s’est opposée. Elle n’avait pas de raison. Elle était juste “pas d’accord”. Direction camp.
La décharge du lac Lapeyrère vers le lac Beaujour (en plein centre de la photo). C’est le chemin du retour.Fast-forward au brunch du lendemain et l’essentiel bacon Maillard.Du bacon, des oignons, des champignons, des patates, des oeufs, le déjeuner standard du campeur.J’ai oublié les bines, sti.Vu qu’il y a une carrière de granit dans la région et que la Sépaq se sert des retailles pour des ouvrages de voirie, j’en ai profité pour faire un petit inukshuk de pierre taillée.Après un gros orage la dernière nuit, retour à la maison. Ici la rivière Batiscan, que l’on croise à quelques reprises en direction de la réserve. Si jamais je reviens ici, je sortirai de la réserve vers la ville de La Tuque, au Nord.Une carrière de granit dans la municipalité de Rivière-à-Pierre en sortant (arrivant) de la réserve faunique de Portneuf.Petit ménage en arrivant, vu que tout est trempé ou humide par l’orage de cette nuit.Petit ménage dans les compartiments pour que ça sèche. Je pense que l’humidité vient d’une ondée avant la petite virée. J’avais oublié de mettre mes portes en toile.
J’ai beaucoup apprécié mon séjour à la réserve faunique de Portneuf. Sa nature est magnifique et c’est pas mal isolé. En général, la Sépaq fait du bon boulot et les employés sont accueillants. Dans les prochains posts, je vais exprimer quelques critiques constructives. Voilà !